Du 23 au 27 septembre 2024 se déroulera au pôle scientifique et d’innovation de l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody, à Bingerville, la conférence scientifique TACCOVVAR 2024 (Tropical Atlantic Climate and Coastal Variability)

A l’ouverture de cette conférence scientifique, le Directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Prof. Arsène KOBÉA, qui représentait le ministre de tutelle, Adama DIAWARA, a souligné que ce rassemblement de scientifiques éminents venus de pays situés le long du golfe de Guinée et d’ailleurs, témoigne de la vitalité de la recherche scientifique et de l’engagement commun à relever les défis liés au changement climatique.

« Les travaux que vous présenterez au cours de ces prochains jours, nous permettrons de mieux comprendre les mécanismes de cette variabilité climatique, d’évaluer ses impacts sur nos sociétés et d’envisager des solutions adaptées. Je suis convaincu que les résultats de vos recherches sont d’une grande utilité pour les décideurs politiques, les acteurs économiques et les populations locales », a déclaré le Directeur de cabinet. « La recherche scientifique est essentielle pour faire face aux grands défis de notre temps, tels que les défis d’ordre climatique, alimentaire et énergétique. C’est pourquoi le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le prof. Adama DIAWARA, est déterminé à soutenir la recherche scientifique et à favoriser l’émergence d’une communauté de chercheurs dynamiques et créatifs, et cela, en cohérence avec la vision du président Alassane OUATTARA, qui est de développer une recherche scientifique d’excellence au service du développement économique, social et culturel de la Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.

La conférence TACCOVAR, aux dires du président du comité d’organisation, professeur Angoran Aman, a pour objectif principal de renforcer les connaissances sur l’océanographie, le climat et l’environnement de la région du golfe de Guinée. Elle va rassembler en terre ivoirienne des scientifiques de divers pays, notamment la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Gabon, le Benin, ainsi qu’une soixantaine de chercheurs et étudiants originaires des pays du Golfe de Guinée. Des participants de Madagascar, de la France, du Brésil et d’Angleterre qui y prendront part en ligne.